Beaucoup de choses se sont produites ces 3-4 dernières années dans ma vie, dont une sacrée descente aux enfers émotionnels. Pourtant, dès le début et dans un instinct de survie, je savais inconsciemment que je devais faire quelque chose. Quelque chose rien que pour moi. J’avais besoin de me créer une sorte de point d’encrage et d’évasion…

J’ai choisi de m’inscrire à l’Académie des Beaux-Arts de Tamines, option photographie et pluridisciplinaire.

En 2017, je ne savais pas encore que ce geste serait aussi salvateur pour moi. Non pas que je compte en faire un métier mais plus pour les moments que j’ai pu m’y créer, tant par l’art que par les personnes que j’y ai rencontrées. Depuis, j’y consacre tous mes samedis matins.

Cet article est donc le premier d’une nouvelle série où je présenterai les travaux réalisés. L’ordre sera peut-être un peu chaotique et non chronologique mais suivra très certainement mon humeur du jour. Oui, vous constaterez certainement que j’écris plus en fonction de mon état d’esprit du moment qu’en suivant une quelconque ligne éditoriale 😉 Non, je ne suis pas rebelle, j’ai juste lâché prise 🙂

Donc, un des thèmes proposés fin 2019 était celui de « L’image dans l’image ». J’ai dès lors profité d’une belle journée d’automne pour retourner dans ma ville natale qu’est Bruxelles et d’y flâner comme une touriste avec un bon vieux Canon EOS 450D.

Oui, une dizaine d’année pour une appareil photo numérique, ce n’est plus tout jeune mais ça force à travailler la technique. Je me dis que si j’arrive à faire des photos convenables avec un appareil n’ayant pas toutes les dernières technologies sous le capot, nullement besoin d’acheter le tout dernier cri… Ok, j’avoue, c’est aussi une question de budget 😀

Voici donc une petite sélection de ma version de « Bruxelles ma belle »

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